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Bon, j'ai fait quelques cafouillages au niveau de la forme de ce blog ><''
Je ne sais pas si vous avez vu, mais hier j'avais tout changé, couleur, images...Bah ça m'a pas plu --''
Du coup j'ai réessayé ce matin, mais y'a tellement rien de bien qui en est sorti que j'ai remis un thème standard pour tout effacer :')
Je m'y remettrai dès que j'aurais réuni assez de courage, mais c'est pas encore pour tout de suite, désolée :)
Alors pour l'instant, voilà, retour à la case départ ^^''
*edit* : Bon bah voilà, j'ai retouché un peu le blog... Pas de beaucoup, mais pour qu'il me ressemble au moins un peu. J'espère que ça vous plaît :)
15 commentaires -
Viens avec moi bâtir un nouveau monde
Univers fait de fleurs et de chants mêlés;
Joins-toi à moi, formons une ronde ronde
Qui grâce à notre amour ne sera jamais brisée.Créons ensemble un nouveau monde
Composé de rires enfantins et de bouquets;
Erigeons à deux sur cette terre humblement féconde
Un parterre éclatant de bruyères et de muguets.Allons toi et moi concevoir un nouveau monde
Un monde brillant où la joie sera toujours présente
Et où l'on pourra partir sans cesse, vagabonde,
Sans que la tristesse revienne et nous hante.Inventons en choeur notre nouveau monde,
Un monde ému où l'on pourra enfin croire
Que de tous côtés de cette mappemonde
Brillera et resplendira enfin et à jamais l'espoir.Imaginons encore une fois ce nouveau monde,
Ce monde apparu dans les soupirs d'un soir;
Car lorsque qu'auront terminé de défiler les secondes
Ce monde merveilleux sombrera dans le noir...
10 commentaires -
Hier soir, je me demandais : avec les 'progrès fulgurants de la science', arrivera-t-on un jour à mettre de l'espoir en bouteille ? De l'amour en conserve, de la peur en boîte ? De l'appréhension en sachet, du courage en flacon ?
Bref, arrivera-t-on un jour à emballer nos émotions ?
Et puis je me suis rendue compte qu'on y était déjà arrivé. Et qu'on n'avait même pas eu besoin des 'progrès fulgurants de la science'.Parce qu'on arrive déjà à tout mettre dans un sourire.
6 commentaires -
Ils m'ont anéantie
Je me suis relevée
Ils m'ont détruite
Je me suis redressée
Ils m'ont assassinée
J'ai survécu
Ils ont cherché à me tuer
Ils n'ont pas pu
Ils m'ont pourtant bien eue
Je me suis effondrée
Je suis tombée
Ils ont ri car ils m'ont vue
Ils m'ont blessée
Ils m'ont tatoué la peur dans la peau
Je leur dois mes crises d'angoisses
Ils m'ont lacéré l'âme au couteau
Et jetée comme un papier que l'on froisse
Ils m'ont abattue accablée achevée
J'ai pleuré crié prié pour qu'ils cessent
Pour qu'ils cessent de me briser broyer écraser
Ils m'ont déchiqueté le cœur
Sous leur rancœur crasse
Ils m'ont démolie désintégrée déstabilisée
Je suis devenue fébrile et frêle comme une ombre
Ils m'ont engloutie épuisée exténuée
J'ai gardé la tête haute mais les épaules basses
J'ai pleuré à m'en déchirer les yeux
J'ai crié à m'en percer la gorge
Mais ils ont continué à me détester
Ils m'ont désespérée réduite à néant
Un tas de larmes sous un tas de cris
Avec un cœur sous les tas qui pleurait des cris
Et ma vie qui criait mes pleurs
Ils m'ont annihilée décimée écœurée
De la vie sombre et sanglante
Ils m'ont foudroyée écrabouillée
Par leurs visions froides et violentes
De la vie attérée balayée consternée
Et qui pulse pourtant à nos tempes
Ils ont extirpé de mon âme les fragment précieux
Frange de la complexité des émotions
Ils ont gâché ma vie comme ils ont pris la tienne
En pulvérisant ravageant exterminant ton sangPourtant je suis encore là. Ils ne m'ont pas vaincue.
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