• Je pars au Laos et en Thaïlande demain !

    Je serais indisponible pendant deux semaines !

    Merci de noter ^^

     


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  • Pour toi, je suis l'ignorante sauvage
    Tu me parles de ma différence, je crois sans malveillance
    Mais si dans ton langage, tu emploies le mot sauvage
    C'est que tes yeux sont remplis de nuages, de nuages

    Tu crois que la terre t'appartient toute entière
    Pour toi, ce n'est qu'un tapis de poussière 
    Moi je sais que la pierre, l'oiseau et les fleurs
    Ont une vie, ont un esprit et un coeur

    Pour toi l'étranger ne porte le nom d'Homme
    Que s'il te ressemble et pense à ta façon
    Mais en marchant dans ses pas, tu te questionnes
    Es-tu sûr, au fond de toi, d'avoir raison ?

    Comprends-tu le chant d'espoir du loup qui meurt d'amour ?
    Les pleurs du chat sauvage au petit jour ?
    Entends-tu chanter les esprits de la montagne ?
    Peux-tu peindre en milles couleurs l'air du vent ?
    Peux-tu peindre en milles couleurs l'air du vent ?

    Courrons dans les forêts d'or et de lumière
    Partageons-nous les fruits mûrs de la vie
    La terre nous offre ses trésors, ses mystères
    Le bonheur, ici-bas, n'a pas de prix 
    Je suis fille des torrents, soeur des rivières
    La loutre et le héron sont mes amis 
    Et nous tournons tous ensemble, au fil des jours,
    Dans un cercle, une ronde à l'infini !

    Là-haut, le sycomore dort,
    Comme l'aigle Royal, il trône impérial.
    Les créatures de la nature ont besoin d'air pur,
    Et qu'importe la couleur de leur peau.
    Chantons tous en choeur les chansons de la montagne,
    En rêvant de pouvoir peindre l'air du vent...

    Mais la terre n'est que poussière, tant que l'Homme ignore comment,
    Il peut peindre en milles couleurs l'air du vent !


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  • Souvent j'écris

    Toutes mes pensées,

    En poèmes où parfois l'on rit

    Mais qui souvent font pleurer...



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  • Un soir, à la fenêtre,

    Alors que je lisais tranquillement,

    J'ai vu passer un petit être

    Dans le Ciel, tout à fait charmant.

    C'est tout naturellement que, sur le rebord

    De ma lucarne, il est venu se percher.

    Il s'est incliné, et c'est alors

    Que je me suis demandée d'où il venait.

    Je lui ai posé la question.

    Il m'a répondu d'une voix mélodieuse :

    Je ne suis ni un elfe, ni un triton,

    Pas même un sorcier, ou une fée charmeuse.

    Malgré tout je suis magique,

    Car je viens du firmament.

    Je m'écriai : Mais c'est fantastique !

    C'est même vraiment éblouissant !

    Il ouvrit la bouche pour répliquer,

    Mais, tout à coup, il disparut.

    Comme bâillonnée, je me tus.

    Je ne peux vous expliquer

    Le pourquoi du comment.

    Je sais juste qu'à l'endroit précis

    Où s'est tenu cet être charmant,

    Il y avait un message. Le voici :

    La vie

    Est belle,

    Mais cruelle.

    Je suis parti

    Aux Cieux.

    Les étoiles

    M'appellent.

    Adieu.

    Tu étais belle.

    Les soirs où je lis près de la fenêtre,

    Je ne fais que penser au message mystérieux

    Que m'a laissé ce petit être

    Qui était descendu des Cieux...


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