~ L'observatoire le laboratoire des pensées-clandestines -des phrases superusées, superposées, qui se cognent les coeurs contre tous les murs- la petite fabrique à poèmes racornis productrice de poésie désenchantée, d'auteurs desséchés, de vies arides,...
Lire la suiteLe jour me rend si laide - c'est pour ça que tu pars dis ?
Lire la suite~ Les sans-guillemets -oiseaux de passages, pilotes astigmates- les sans-racines -qui s'enracinent au coin de tes yeux couverts de bleus- les sans-folies -les regards douloureux aux remords encore silencieux- les sans-orages -les sans-romances qui s'ignorent...
Lire la suiteSe souvenir : tes doigts qui jouent de la guitare sur ma corde-homme vertébrale.
Lire la suiteÀ faire : sécher tes larmes comme des fleurs, entre deux pages de dictionnaire.
Lire la suiteElle te fera les gestes qui font les poésies elle bercera ton oeil au son des anciennes comptines, elle bercera ton corps, et ton âme, dans ses bras de fumée, elle ira garder les bois manger les enfants et son corps t'enveloppera comme le font les brasiers...
Lire la suiteIl était une fois les nouvelles rencontres les très vieux amours les anciennes comptines (pour l'allemand éclatant) les longues histoires la progra qui déraille le tissage d'amis-cocons la soupe en laine les vélos qui s'envolent les cheveux qui raccourcissent...
Lire la suiteOn se casse les dents sur les vélos trop grands des trop petites filles sur les rêves trop légers qui finissent souvent par s'envo-trop-laids. ~
Lire la suiteLes retours trop durs. La réalité qui s'affaissesous les coups d'amour des poètes transparents. "J'ai demandé est-ce que plus tard tout redevient solide ?" Les baisers doux des villes-amiesLes brasiers doux de la ville-poésie quelques jours invisiblesarmure...
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