Eklablog
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hardcore kindcore

Queue de poisson

J'écris nue des poèmes fous. J'écris folle des poèmes nus. J'attends le train et le silence dans une salle d'attente aux relents acides de chinois. Mon train m'a perdue, mon ami s'est pendu, seule la salle d'attente m'attend, charmante, aux relents d'allemand...

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21 janvier.

21 janvier.

L'ennui l'ennui. La non-envie de faire le détachement l'irresponsabilité. Le temps qui passe qui passe. L'inaction. La lenteur.La lourdeur. Le vide. L'ennui. Le blanc le rien les soupirs la procra procra procrastination les "en fait j'm'en fous" les fous...

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Petit-déjeuner.

Petit-déjeuner.

J'ai juste des bouts de mots qui s'accrochent qui se balancent des bouts de mots coincés entre les dents. J'écris sans unité j'écris sans relecture/sans recherche sans effaceur et je n'efface rien. Je titille juste du bout de ma langue les mots collés...

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Blues estudiantin.

Blues estudiantin.

Oh. Tant que j'y suis. Vous savez, moi et les dates, tout se confond, j'aime les nombres et je les oublie. Pourtant je voulais vous dire. Merci. Ce blog a fêté en décembre passé son cinquième anniversaire. Qu'est-ce qu'on a changé, lui et moi ! Par curiosité,...

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H2O

H2O

Ecrire, des fins de phrase au fond d'un verre, à la fin d'un soir d'hiver. Et la vie vécue sera finie. Tu me gueules et tu me cries tu t'écris et tu te vomis dessus tes phrases toutes sales toutes vaines tes vilaines phrases qui ne font qu'égratigner...

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Ton visage sur mon écran.

Ton visage sur mon écran.

On ira s'inventer des montagnes blanches et des allers sans retours. On ira creuser dans la terre meuble de nos yeux pour y cacher des souvenirs, des hontes, et des cap ou pas cap d'enfants amoureux. Sur les arrêtes de tes côtes, j'irai déposer mille...

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Ironique.

Hein Lola, est-ce que tu rigoles, est-ce que tu rigoles dis ? Non, moi je ne ris pas, je ne ris plus, j'ai les kilomètres en travers de la gorge et ils m'égorgent doucement. Hein Lola, est-ce que tu dors, tu dors déjà ? Moi pas, j'ai le vague à l'âme...

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La planche en bois.

Elongation du coeur. Ça finit comme ça, les rêves. On se retrouve déchiré entre le bonheur, et la réalité. La réalité TERNE. Froide. Doucereuse. J'ai laissé chez lui plus que des souvenirs, des nuits, de l'amour, et des nuits d'amour. Des journées d'amour...

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