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  • Reinhard Döhl

    Apfel Wurm (Le ver est dans le fruit.)

     

    Etonnamment, c'est un de mes préférés.


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  • "A couple of days ago,
    when my math teacher asked
    "Any questions ?"

    I asked : "What is the meaning of life ?"
    She simply replied
    "The meaning of life is math."

    Today, we realized that, in the alphabet,
    M is the 13th letter
    A is the 1st letter
    T is the 20th letter
    And H is the 8th letter

    13 + 1 + 20 + 8 = 42"

     

    Ça, c'est une dédicace pour toi. 
    Promis un jour je lirai Le guide du voyageur galactique \o/


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  • O.,

    Merci pour tout, et en même temps, va te faire voir. J'ai mal, j'ai peur, je suis heureuse, perdue. Qu'en sais-je ? Aurais-tu du hurler pour me faire fuir ? Peut-être que j'aurais mieux compris tes mots. Peut-être que plus de décibels, plus de violence, moins de réflexion posée, de mots doux, peut-être que plus de haine m'aurait aidée. Parce que moi ici je crie.

    J'ai changé. Je hurle maintenant, hurle d'être libérée, je vends mon corps au plus offrant, je vis des heures libérées, libérées, libérée alors que de mes pieds je suis libre et salie.
    Sale de tout cet amour. De tous ces toujours murmurés, offerts au vent, au moins vivant, j'ai ma tête qui tourne, qui tourbillonne ! Emprisonnée dans un défilé d'hommes. Tous là, tous absents. On prête son coeur au moins perdant.

    On espère guérir dans la fête les travers consommés, panser dans l'ivresse les années consumées, le filtre d'une cigarette entre les lèvres et un bout d'âme entre les jambes, avec le monde entre nos mains, nos mains amères qui d'une traite ne tiennent plus rien. Nos années ont passé, nos vies se séparent, mais il n'y a pas que nos chemins qui se déchirent, car ce soir mes mots aussi volent en éclats, éclats éclatants, on perd la tête si souvent.

    J'ai perdu mes mots, perdu la tête, perdu ton corps. Mon passé et ton passé, enchaînés, ont tourné le dos à de tristes regrets. La fumée qui monte de ma gorge a le goût de l'été, des courses sur le sable, concours de ricochets. Mes remords, je les emporte, blottis en-dedans comme un feu de glace, qui me glace, et qui me fait hurler de douleur au contact des doigts sur mon corps, aux doigts qui sortent de l'armoire, je dis au revoir.

    Au revoir comme à toi, ami, amour, amant, amen dieu je te nie, qui y a cru, de toute façon ? J'ai caché mon coeur dans un carton;
    d'ailleurs tu peux encore le voir,
    le rabat s'agite encore un peu, au fond de l'armoire.

    Ta Clara.
    S'il en est une.


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