•  Mouvements brusques et saccadés,
    Comme un cri, un long cri,
    Un hurlement de ceux que la gorge te rend
    Lorsque la nuit tombe et que tout s'enfuit.

    Tout s'enfuit, tout se foule, tout roule
    Comme coulent les larmes sur ma peau,
    Sur nos peaux, comme un parfum de regrets
    Au parfum de tes mots, tes mots doux,
    Tes mots doux aux couleurs du passé,
    Passé fuyant sous nos visages éplorés.

    Car le passé passe et tout s'efface,
    Des cicatrices, il ne reste que les traces,
    Mensongères, passagères, invitées de marque
    Mais que rien ne retient, sinon un peu de peur,
    Un peu de haine et des litres de chagrin.

    ~

     

     

    Les amis, j'écris j'écris.. !
    En fait, après le poème d'hier, il me restait comme un arrière-goût... de mièvrerie :')

    Trop de rose et de bonbon ! Trop de douceur angélique, et de joie de vivre pure et innocente ! Toutes ces sucreries, alors que je préfère la noirceur des longues soirées d'hiver... Vive le froid, vive la neige et les coeurs de glace ! Non, bien sûr, ceci est une //JOKE//, mais... c'est vrai qu'en ce moment, je préfère écrire plus sombre, je trouve que ça me correspond mieux.

    À part ça, voilà ce que je vous conseille !

     


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  • Il y a eu une étincelle.
    Quelques chocs dans mon coeur.
    Puis une flamme, légère,
    Juste une lumière,
    Une clarté, une lueur,
    Un éclat soudain dans mes heures.

    Il y a eu sa main.
    Sa main passant dans ses cheveux,
    Puis sa main sur mon épaule,
    Nos deux mains qui se frôlent
    Et sa main dans mes cheveux.

    Il y a eu ce sourire,
    Né au plus profond de nous,
    Un sourire tendre, un sourire doux,
    Un mélange de rires et de soupirs,
    Comme éternels ou de toute beauté,
    Comme un bout de rêve ou un futur à rêver.

    Et dans ce baiser,
    D'un coup on a tout mélangé...
    Nos mains, son sourire et sa lumière,
    Nos espoirs, nos peurs et nos prières,
    Nos corps, nos chaleurs et nos joies,
    Nos lèvres, nos pleurs et tout commence là.

    On appelle ça une histoire d'amour,
    J'appelle ça un parapluie,
    Parapluie parce que grâce à lui rien ne m'atteint,
    Ni la pluie ni le monde, ni la nuit ni le jour,
    Rien ne m'étreint, plus rien ne me touche,
    Sinon sa main qui se tend pour prendre ma main ~


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  • "The 'earth' without 'art' is just
    'eh'."

    ~

    Bon, la semaine dernière je vous ai dit que j'étais de retour, mais c'est parce que je n'avais pas compté sur le soutien infaillible de tous mes profs ! :D
    Remercions-les donc tous chaleureusement pour cette tonne de boulot qui m'est tombée dessus dès la rentrée, et inaugurons un hymne en leur honneur ! (qui contiendrait de préférences les termes : épuisement, haine, stress, rage, assassinat, meurtre, torture... ;p)
    Nan, je dis ça mais si j'étais peu présente la semaine passée, c'est aussi parce que je suis énormément sortie, j'ai vu tous mes amis ! ^-^ Qui habitent loin, à l'étranger, qui ne passent par là que pendant les vacances, et ça, ça prend du temps mais ça fait du bien :D

    Mais vous savez quel est le mieux du mieux du top du top : j'ai envie d'écrire !
    (c'était juste pour vous donner des nouvelles et vous rassurer : je ne suis pas morte.)


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