• "La poésie est une forme de violence..."

    J-G Duran

     


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  • Si la vie était facile
    J'aurais été prévenue,
    J'n'aurais pas bougé un cil
    Mais j'aurais pourtant bien vécu.

    Mais ce n'est pas le cas,
    Malheureusement ici-bas,
    Quand t'y est c'est pour de bon,
    Jusqu'à c'que t'ait touché l'fond.

    Heureusement y'a d'l'accordéon
    Pour les soirs d'mélancolie,
    P'titps poufs et grand patapons
    Souris, la vie n'est pas finie...

    J'voulais dire que t'es pas la seule
    À t'prendre des coups dans la gueule.
    Parce que y des gens ici-bas
    Qui eux après s'relèvent pas...

    Fais disparaître dès demain
    Cette autre qui n'existe pas
    Et qui pourtant tout les matins,
    Te remplace ici-bas...
    Dans le regard des autres

    Chante à la fenêtre
    Et chuchote tout bas,
    Crie de tout ton être
    Et mets-y de la joie. ^^

    Décadenasse ton coeur
    Et fais moi visiter,
    J'y distillerai le bonheur
    Que m'inspire notre amitié...

    Car je n'oublie pas,
    Que c'est grâce à toi
    Que j'ai pu résister
    À cette grande marée...
    Qu'est le regard des autres.



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  • Un spectre a toujours été une âme au départ...

    Zakhor. Al Tichkah.


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  • Il y a  son prénom écrit sur le sable mouillé;
    Y'a des slows que j'aimerais encore danser;
    Des rêves désenchantés;
    Et ce soleil qui brûle...


    Il y a son cri qui parfois résonne...
    Mais je ne veux pas en parler.
    Mon coeur a une chaîne,
    Que je n'ose détacher...


    Il y a des "je t'aime"
    dans lesquels faut pas se noyer...

     

    Il y a des larmes dans ses yeux
    Mais je ne peux pas bouger...

      

    Il y a des cris, des insultes,
    Que je ne peux écouter...

     

    Il y avait aussi de l'amour...
    Mais je ne veux pas en parler.

     

    Il reste de l'amertume, des regrets,
    Une sensation amère...
    Le souvenir de la mer
    Ensemble à jamais...

     

    Puis une déchirure dans ce parfait bonheur.
    Une aventure qui ferait leur malheur...

     

    Puis la fin, précipitée et brutale.
    Tout s'effondre en une seconde.
    Tout va bien, puis d'un coup, tout fait mal...
    Il aura suffit d'une seconde...

     

    Ensemble, amoureux un jour,
    Se promettant les habituels "pour toujours".
    Le lendemain rempli de pleurs.
    Il avait encore frappé. Qui ? Le malheur.


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